Lettre à l’Attention De Madame Le Ministre de la Culture Fleur Pellerin Au Sujet Du Groupe BRAMSTOCKER.

Fleur Pellerin, Ministre de la Culture est la principale personne en France à connaître la réalité concernant BRAMSTOCKER, un groupe qui fut le premier à Nice en termes de notoriété et de légende contrariée par un manque d'organisation commerciale et de soutien populaire.

Fleur Pellerin, Ministre de la Culture est la principale personne en France à connaître la réalité concernant BRAMSTOCKER, un groupe qui fut le premier à Nice en termes de notoriété et de légende contrariée par un manque d’organisation commerciale et de soutien populaire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fleur_Pellerin

Nice, le 30 juillet 2014

Madame le Ministre,
j’ai l’honneur de vous demander une enquête concernant mon groupe BRAMSTOCKER qui fut l’objet d’une impossiblité de carrière en France.
Créé en 1977, à Nice par moi-même et trois autres muiciens, BRAMSTOCKER devait à l’époque signer avec les Disques TREMA après avoir joué au Golf-Drouot. Nous avions enregistré plusieurs chansons au Studio du Vigilant, sous la direction de Pierre Demerlé et la production fut effectuée par l’ingénieur du son Jimmy Lecat. Par ailleurs, nous avions organisé avec le groupe DENTIST le premier concert Punk à Nice, au bar du Galopin, au port, un grand succès que nous avons renouvelé pour plusieurs concerts. Nous venions d’obtenir notre Bac et la carrière que nous aurions pu entreprendre dans le Show Biz s’annonçait prometteuse.
Mais TREMA, maintenant un label détenu par UNIVERSAL Music , refusa de nous signer et nous fûmes contraints de renoncer à sortir notre premier 45 tours dans la maison de disques de Michel Sardou. Après le Golf-Drouot où notre prestation a été remarquée et devenue légendaire selon certains, nous avons dû rentrer à Nice bredouille. Jimmy Lecat avait négocié avec TREMA et nous avait fait signer d’abord avec une petite maison d’édition à Paris mais en pure perte.
Près de 40 ans plus tard, à Nice, notre groupe est un sujet tabou. J’ai pu le constater depuis 4 ans, à l’occasion de mon retour en France. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris que j’ai rejoint après l’échec de mon groupe, titulaire de la promotion 1981 alors que François Mitterrand accédait à la Présidence de la République. Docteur en Sciences de l’information de l’Université de Paris II Panthéon-Assas depuis 1999, je suis un ancien Attaché d’administration centrale avec 15 ans d’ancienneté à la Caisse des dépôts et consignations que j’ia quitté en 2002 pour émigrer en Amérique dont je suis revenu avec la nationalité américaine pour hériter de ma tante Jacqueline Haim-Vittone, née Lucienne Haim, ancienne supporter de BRAMSTOCKER, décédée en 2011 et me laissant en héritage un appartement situé à Nice, 10, avenue Notre-Dame où je réside toujours actuellement.
Je m’étonne qu’après avoir créé ma société POST-SCRIPTUM à la Chambre de Commerce de Nice en novembre 2011, je n’ai pu depuis 4 ans trouver aucun véritable partenariat ni clientèle réelle dans le domaine de la musique et du cinéma. En Californie, j’ai rejoint la Screen Actors Guild en 2005 et créé ma LLC la même année (Timeframes LLC) pour produire le film FRENCH COP et son spinoff le GERMAN SPY qui restent toujours en projets. En 2003, lors de mon arrivée, je souhaitais faire carrière dans la musique mais j’ai pu remarquer le manque d’intérêt des américains que j’ai cotoyé. Est-ce lié à BRAMSTOCKER ? Je le suppose.
Déjà en 2000, à Paris, alors que je venais de m’inscrire au Parti Socialiste dans la section du XXe arrondissement aux côtés de David Assouline et du Maire Michel Charzat, j’ai recréé mon groupe BRAMSTOCKER avec un nouveau Line-Up ouvert à de nombreux musiciens et j’ai pu remarquer, malgré des dizaines de nouvelles chansons composées par moi (je suis sociétaire de la SACEM depuis l’origine) que les maisons de disques n’étaient pas intéressées. Pourquoi ? Pourquoi laisser un groupe et son potentiel sur la touche après tant d’années ? Nous devons être connus dans le métier. Nous étions Punks, un genre venu d’Angleterre et peu apprécié en France, nous concurrencions Plastic Bertrand et son tube Ca Plane Pour Moi, nous devions déplaire aux vétérans du Rock français comme Johnny Halliday et Dick Rivers., un autre niçois.
A mon retour à Nice, après un tour d’horizon en 2011 où je me suis aperçu que mêmes les membres de mon groupe étaient distants et semble-t-il, eux aussi victimes d’une certaine ségrégation culturelle, j’ai décidé en 2012 de trouver de nouveaux musiciens pour organiser un nouveau concert comme le Galopin mais après avoir trouvé le club Stacatto, dans le vieux-Nice, le batteur qui est aussi celui des Electric Mormons, a déclaré forfait, sans véritable raison et le concert fut annulé.
De retour en 2014 avec la chanson SILLY, enregistrée en studio et distribuée en CD à près d’une centaine d’exemplaires à des spectateurs du club Rock Le Volume subventionné par les pouvoirs publics locaux, j’ai pu constater que personne ne m’avait rappelé ou envoyé un email. Ce silence surprenant et suspect fut également celui de dizaines de labels auxquels j’ai envoyé en janvier ma chanson par email, sans aucune réponse de leur part.
Mon groupe est-il sur liste noire ? Ce serait contraire à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Présent au MIDEM 2015, en votre présence, j’ai pu distribuer également une douzaine de CDs à des professionnels de différents pays qui ne m’ont jamais recontacté depuis.
Contemporains des Sex Pistols en Angleterre, notre musique choque peut-être au moment où je viens d’enregistrer 12 nouveaux titres pour Youtube et l’album en préparation President of the States mais c’est une injustice de nous tenir rigueur de notre caractère alternatif pour nous censurer commercialement.
Je suis connu sur l’Internet pour mon prosélytisme et ma grande convivialité, facteur de notoriété personnelle liée à mon œuvre littéraire (Velvet Eyes). J’ai du souffrir de l’échec de mon groupe depuis 77 pour rester à l’écart de 2011 à 2015 en France, à Nice, alors que je suis plus disponible que jamais. Aucun média, aucun concert. J’accuse une loi du silence qui me paraît incompréhensible. Je vous demande d’ouvrir une investigation à ce sujet car la culture a besoin de liberté et BRAMSTOCKER mérite de sortir son premier album commercial, sans plus attendre, en France et aux Etats-Unis.
Frédéric Vidal
PS : mes parents étaient de Monaco, est-ce lié ?

Frédéric Vidal Ecrit A Jean-Louis Debré, Son Ami Et Président Du Conseil Constitutionnel Pour En Savoir Plus Sur Son Ministère Impossible : Un Secrétariat d’Etat.

Le Président du Conseil Constitutionnel est le fils du premier Premier Ministre de la Ve République : Michel Debré et depuis 1959, l'année de ma naissance, je suis fidèle à nos institutions, la Ve République que je considère trahie par l'irrespect du Gouvernement et de laz présidence à mon égard. Merci Jean-Louis Debré d'en tenir compte dans vos mémoires. Frédéric Vidal

Le Président du Conseil Constitutionnel est le fils du premier Premier Ministre de la Ve République : Michel Debré et depuis 1959, l’année de ma naissance, je suis fidèle à nos institutions, la Ve République que je considère trahie par l’irrespect du Gouvernement et de la présidence à mon égard. Merci Jean-Louis Debré d’en tenir compte dans vos mémoires. Frédéric Vidal

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-louis_debr%C3%A9

Monsieur le Président du Conseil Constitutionnel,

Je vous écris afin de vous solliciter ainsi que le Conseil Constitutionnel afin de vous demander de bien vouloir examiner ma demande de recours en annulation du décret du 9 avril 2014 relatif à la composition du Gouvernement (Secrétaire d’Etat) après la déclaration d’incompétence du Conseil d’Etat à ma requête du 11 avril.

Si le Conseil d’Etat est incompétent, vous devez ne pas l’être. En effet, votre prérogative à contrôler les lois et le bon respect par les pouvoirs publics de la Constitution de la Ve République et de ses modalités de fonctionnement pour qu’il n’y ait de maîtrise de ballon excessive de la part de l’exécutif, celui-là même qui nomme le Gouvernement et ses Ministres ainsi que ses Secrétaires d’Etat.

Le décret du 9 avril me paraît entaché d’une erreur manifeste d’appréciation concernant la nomination  de personnalités qu’il cite aux postes de Secrétaires d’Etat. Madame Axelle Lemaire qui a eu le poste que je souhaitais obtenir, dit du Numérique, fut précédemment, beaucoup moins que moi en contact avec l’Internet. Binationale comme moi (France – Canada, France – USA), elle fut à Londres l’attachée parlementaire d’un membre de la Chambre des Communes. Moi-même, Docteur en Sciences de l’Information, j’officiais à la Caisse des Dépôts pendant 15 ans à la communication en tant qu’Attaché d’administration centrale.

Une République sectaire à mon égard m’a conduit à m’exiler aux Etats-Unis avant de revenir plus sereinement mais toujours sans femme après l’échec de mon film FRENCH COP. A Nice depuis 2011, créateur d’entreprise (POST SCRIPTUM) , candidat au poste de Premier Ministre auprès de Nicolas Sarkosy, puis de François Hollande (novembre 2011 et mai 2013) afin de faire valoir mes compétences en droit et en science politique (diplôme IEP Paris et DEA droit public interne) et de proposer mes services au sommet de l’Etat, j’ai également candidaté en tant que Société Civile pour devenir Secrétaire d’Etat (Affaires Litigieuses 2012, Internet 2014) sans que les administrations concernées ne daignent jamais me répondre.

Je vous demande en conséquence d’ouvrir une enquête sur ce mutisme de Matignon et de l’Elysée qui n’indique rien de bon concernant  la France et la Ve République. Manuel Valls et François Hollande sont coupables de ne pas m’avoir répondu aux alentours du 1er avril alors que les courriers que je leur avais adressé étaient explicites en ce qui concerne ma motivation pour aider l’Etat et renforcer le Gouvernement. Seuls les Députés seraient-ils en mesure de devenir Ministres ? C’est contraire à l’esprit et à la lettre de la Constitution instituée par Charles de Gaulle et un excès de parlementarisme qui nous ramènerait à la IVe République. Il faut sanctionner cette dérive de ne faire appel qu’à des élus de l’Assemblée Nationale parmi lesquels Axelle Lemaire et la plupart des autres Secrétaires d’Etat nommés comme des apparatchiks du Parti Socialiste alors qu’on laisse à l’écart d’autres compétences moins électorales mais probablement plus pertinentes comme la mienne.

Candidat “Write In”, c’est-à-dire supplémentaire, grâce à l’Internet social, à la primaire du PS pour l’élection présidentielle de 2012, j’ai pu constater les difficultés inhérentes à la vie politique après l’an 2000 avec un excès de partis politiques dans la relation entre l’Etat et le citoyen. Pour l’élection présidentielle elle-même, je vous avais écris pour vous faire part de l’impossibilité de recueillir les 500 signatures nécessaires à force de ne pas pouvoir être attractif pour la presse.

Les Secrétaires d’Etat et les Ministres du Gouvernement actuel sont l’objet d’une couverture de presse permanente qui fait d’eux le centre d’intérêt de l’opinion publique sans que cela soit totalement justifié. Cet excès de médiatisation me paraît également contraire à la Constitution et refléter un excès de popularité des intéressés auprès des journaux et des télévisions d’information continue : le vedettariat gouvernemental est suspect auprès de la notion de service public que j’aurais voulu incarner sans être en mesure de fédérer les journalistes  comme mes concurrents à la notoriété plus officielle et officiellement organisée.

Le décret du 9 avril 2014 devrait nous permettre de méditer sur l’injustice administrative quand la politique vient se mêler de ce qui revient à l’histoire : refuser la bonne volonté comme la mienne quant on sait qu’on est mal vu sans raison.

Veuillez agréer, Monsieur le Président du Conseil Constitutionnel, l’expression de ma plus haute considération et de mes sentiments les plus dévoués.

Frédéric Vidal

 

Chapitre VI : BNP PARIBAS. STATELESS SUPERSTAR Par Frédéric Vidal. Une Publication Numérique Pour Une Diffusion En Librairie Cet Eté.

LA NOTION DE PROFIT

1. JFK ne se mariera jamais avec une banquière

J’avais rendez-vous à la BNP pour mon retour depuis 2002
L’agence se situait à Gorbella là où j’avais commencé mon groupe de 1977
Ma carrière politique ne m’a pas permis de sympathiser avec le chargé de clientèle

2. Les américains s’intéressent trop à la France d’une mauvaise façon

Pour mon retour en France, on m’a considéré comme un américain comme un  autre
L’exception américaine exportent sans tenir compte de l’exception française
En tant que niçois, j’étais comme un poisson de l’eau à observer ces phénomènes culturels

3. Le 51e Etat est la doctrine des amateurs de cartes de crédit AMEX

La France, si elle ne prend garde, sera américaine sans moyen de le vivre dans la prospérité
L’attrait des produits manufacturés aux Etats-Unis est une affaire de fascination et d’attraction symbolique et commerciale
La qualité des produits doit nous permettre de cogérer leur distribution sinon alerte au politique

L’IMPOSSIBLE ENTREPRISE

1. La Provence n’est pas une notion juridique mais commerciale

Le Film se passait à Paris mais Poutine ne voulait pas du personnage russe (à jouer par une russe) alors autant s’installer sur la Côte d’Azur
En Provence, j’ai apprécié la Californie française et le temps qui passe
J’adore Pagnol et la nouvelle vague française mais les Studios de la Victorine sont restés fermés

2. POST-SCRIPTUM ressemble à Timeframes mais se veut à but non lucratif

Impossible cadrage en temps réel et décadrage qui mène vers l’avenir, c’est le mode de propulsion, le déséquilibre
Aux USA, ma société a failli être en faillite, elle est restée à l’état de promesse
Désormais dans la politique active, je bénéficie d’une jurisprudence culturelle qui me conduit à prévoir que mes productions commerciales seront réparties à but non lucratif.

3. La mafia n’est pas celle qu’on pense mais un club de la Camora

Le malheur des uns fait le bonheur des autres
Une histoire qui s’est mal trop passée
Pour réussir à Nice, il faut une carte des Amis du Maire

LE FICHIER BANQUE DE FRANCE

1. Le krach boursier n’aura pas lieu

Au Palais Brogniard, la valeur de mon scénario est au beau fixe
Les chèques impayés que j’ai émis sont à rapprocher de mon défaut de paiement de carte de crédit
49 projets de scénarios de films sont listés par moi sur l’Internet pour capitaliser mon entreprise personnelle (sans aucun mélange avec la politique)

2. C’est Fuller contre Bush pour masteriser Obama en 2008

Je suis de la théorie de l’homme providentiel pour aider ceux qui ne le sont pas
En 2014, on se souvient de 2008 et la corde pour l’un correspond à la croix pour l’autre dans un roman de Fuller
Sans agent en France, j’ai trouvé le moyen de rentrer sur la Côte Est pour ma bonne fortune électorale

3. Cette liste noire ne concerne que les chèques impayés

Les fausses factures de l’UMP sont un problème plus grave
Aucune banque ne souhaitait financer une société de films
Ma valeur artistique m’a permis de l’emporter grâce à ma conviction

Maximes

La BNP PARIBAS est l’alliance de deux banques qui ne m’a permis un mariage avec l’establishment socialiste.

J’ai créé TIMEFRAMES à Los Angeles en 2005 sous le nom de Vidal & Partners LLC juste après avoir obtenu ma troisième SAG voucher qui m’a permis d’adhérer à la Screen Actors Guild.

Ce livre comporte 600 000 signes à peu près pour compenser l’inscription de mon nom de 12 signes sur le fichier impayés à la Banque de France par erreur.

800px-Flag_of_Massachusetts_svg

http://en.wikipedia.org/wiki/File:Flag_of_Massachusetts.svg

Screenplay by Mike Fuller (Frederic Vidal) BRAMSTOCKER : Legal Gang.

Fast Google Translation.

Sequence I.

Scene 1 .

Illuminated by a projector in a room like a black scene .

Fred : Hello and welcome to the realm of cinema. Here everything is possible and nothing appears unlikely. On the big screen or on television or on your computer , you can enjoy an imaginary reality that the filmmakers have made ​​for you.

Marc : We welcome you to present a short film that we come to realize about our BRAMSTOCKER group. Punks we started in 1977 and Punks , we remained until today that our clothes have less safety pins .

Fred : BRAMTOCKER but you ‘ve never heard of or almost . The houses of Paris disks have explained at the time they were not interested . Now , 35 years after 78 seconds the key year of our career , we thought we put in scene in a fiction film like the Beatles did for Hard Day ‘s Night and Help to tell a story and to make useful .

Histoire de Guillaume Tell (1). Images d’Epinal.

Scene 2 .

The exposé continues , the two men turn to the camera.

Marc : we became a legend , it seems , from Nice to Marseilles, Paris United States , not to mention England.

Fred : our name is already attracting attention because it is reminiscent of the author of a classic book for lovers of extraordinary stories . We call BRAMSTOCKER tribute to the writer Abraham Stoker, Bram Stoker said the father of Dracula , a character known to be the most famous vampire in the history of cinema.

Marc : ourselves, we are not in fear but in science fiction. Fred wrote several stories power of cinema as the French and the German Spy Cop .

Fred : the reformation of the group in 2013 corresponded to our desire to remain present in the history of rock that never mentions us. Su parallel earth, we even recorded more than 13 albums that were hits and marked their time.

Scene  3 .

Their explanation of the film and their group continues to be justified .

Marc : We thought appear in this film as a team of bikers that could be called a gang May 1 gang that is legal because we love and we always want to strengthen the rule of law .

Fred : In the film, we’re not the police, but we work with it. Inspired by the Hell’s Angels , we have not fallen into delinquency but we rub shoulders to reduce it to zero if it is possible, by setting a good example : no drugs and no corruption.

Mark, however, in the film, BRAMSTOCKER is facing problems and crises that reflect the reality of a group that has chosen to rock in France , which is not obvious because it is not in traditions of our country that prefers the accordion at the electric guitar.

Scene 4 .

To conclude , the two men shake hands.

Fred : This is true but it is pessimistic . Since the 60s , the rock is located in France and got a impact with youth.

Marc : our company film and music has a name: Postscript , it is she who produced the film we just introduce yourself.

Fred : So, we ‘ll leave you with the emanation of the group, ourselves, and other characters that you may see again and that will remain forever in your dreams and memories.

Marc : thank you to all those who have contributed to this project has enabled us to get the message : Punk is not dead , BRAMSTOKER is still alive .

Fred  : next appointment in stores your store or on the Internet, for a first commercial album of our songs is not science fiction. It’s coming soon , if you like the movie that follows.

Fred and Marc : Rolling.

Sequence II.

Scene I.

At the motel , after parking their motorcycles.

Fred : we are. The road has been long . Are you are tired?

Marc Moderately . Will book hotel rooms.

Fred : Of course , I will ask Peter.

Scene 2 .

Encounter with a stranger.

Banjo Man: you BRAMSTOCKER group?

Marc: why not if you say so .

Banjo Man: I was expecting you to warn us that Nice, you do not have as friends.

Fred: here we are in Villeneuve -Loubet.

Banjo Man: you mix music and politics.

Fred: no. Politics, it’s personal , the Rock that we play, it’s Punk, that’s why you have this impression.

Scene 3.

The conversation continues.

Marc: I, for example , I am a socialist and proud of it but when I play, it’s for everyone .

Fred: I like De Gaulle and the UMP when I think the time to vote . But I was disappointed by Sarkozy and Hollande pleases me , Banjo Man.

Marc: Our vocation is social , not political. We are there for the youth, entertainment and reconcile itself by giving her a reason to be.

Scene 4.

They sympathize before leaving.

Banjo Man: there you had never seen him since 78.

Peter, it’s true, we were left in the Gard to organize gang and wait the required time.

Marc : Now we’re back , it’s for a concert.

Fred : and concert , in fact, Banjo Man , will be held in Nice. All other groups in the city are invited as well as the surrounding area.

Histoire de Guillaume Tell (2). Images d’Epinal.

Sequence III.

Scene 1 .

In their previous study, they remember.

Fred : nothing has changed my old aside the cobwebs and dust.

Marc : I do not remember that we had left everything like that.

Fred : we left quickly. We do not have time to take a picture.

Marc : At the time , we could succeed.

Scene 2 .

They evoke the 70s.

Fred : our idols are still there.

Mark, with billions more , certainly.

Fred : Are you kidding , they’re victims of the system they have wasted their lives for the Rock.

Mark : Yes , that’s my impression too, it is better to keep quiet than famous , it does nothing .

Fred : it brings if it pays and if you know how to invest the money .

Scene 3 .

Amid the paperwork.

Marc : you must get hold of this telegram . We are not here for fun .

Fred : I am looking for . Rock & Folk gave us a chance by publishing information on BRAMSTOCKER ready to conquer the world.

Marc : I . Two lines that matter in our career.

Fred : safe . Now, we must decode it. They wanted to say something else because it did not work .

Scene 4 .

The whole team found .

Fred : it was a cigarette . I love your nickname, Peter explains how you consumed them in managing the group .

Peter a drink to my health, I ‘ll make you a star.

Mark, too, you’ll publicize me cig. A yours.

Paul and George we found the course of our career now .

Histoire de Guillaume Tell (3). Images d’Epinal.

Sequence IV.

Scene 1 .

In a large dining room.

George : I like this restaurant. In 77, the first group of musicians sometimes had lunch there before going to the beach.

Paul : Yes , it recalls the past . Nothing to do with the Gard or Nice , it’s really Villeneuve- Loubet .

Scene 2 .

It is the birthday of Peter.

Fred : the floor is our leader.

Marc : we celebrate the anniversary .

Peter was not able to do better with BRAMSTOCKER far because we lacked the means . We preferred the quiet country life stress recording studios in town to see come to pass the time , to write another page in our history. Now it’s time to take off. We managed to form a thirty team. I am your Malcolm McLaren and I will prove it .

Scene 3 .

There is talk of a record .

Marc : I tell you the name of the group , Cigarette . Was pressed some collectors albums but never bored for lack of business environment . Today, we are with you to confirm that we are ready for a major label . It is up to you , it is for us to find . You attract luck with your smile and your preppy style . Preparing the contract and sign it.

Scene 4 .

Sharing birthday cake.

Paul : we wanted to tell you that is a real gay group but does not intend to marry now.

George : to keep playing together, we learned to understand and life of men has enabled us to avoid the worst.

Fred : stay alone ! Is everyone expected a louse Pierre gift . Show me that.

Histoire de Guillaume Tell (4). Images d’Epinal.

Sequence V.

Scene 1 .

At the cemetery, the conversation resumes.

Fred : Now , we came to collect .

Paul, as usual.

Fred : to commemorate all those past years doing nothing .

Marc : to do what it was .

George to stay in the group’s history and write history in the Rock of the planet .

Fred : I always look younger , Pierre , too.

Peter, it’s true.

Scene 2 .

Evocation of the dead.

Marc : some are dead , others are alive. We are all one community.

Fred : you said puffy . You are my imaginary boyfriend and yet you exist .

Marc : It’s true that I will have proved .

Fred : The Rock, this is not a joke , some are dead , others may die .

Marc : this is the danger .

Peter farewell kids , you made the soul. , We ‘re vampires and we want to continue .

Scene 3 .

They linger in front of the graves .

Fred : Look this stone angel , and we think it reflects how we get out.

Marc : he thinks about you and thinking about me. I remember the holdup that our friends had managed to destroy their lives. I remember that we are still young .

Fred : everyone ‘s problem.

Peter, are you sure it’s quiet here .

FRED was a secret , it is not really there , they had to die a hundred times .

Mark, you have to believe there are several parallel qu’l planets.

Fred : in any case, there is life after death.

Scene 4 .

They leave the cemetery.

Peter go, we go.

Fred and Mark, ever , for the Rock.

Marc : Sid Vicious.

George had discovered the Rock’n Roll and picked him .

Fred : I love this cemetery, it looks like any other and can discuss .

Histoire de Guillaume Tell (5). Images d’Epinal.

Sequence VI.

Scene 1 .

Before the castle .

Fred : Now , you must tell me what you make money .

Marc : You know they have buried .

Fred : where? There is no plan and no information from them.

Marc : I have heard that at the time that the bars do not have the opportunity to leave the city lights too .

Fred : then they find another time, for now the music.

Scene 2 .

They continue to agree .

Marc : we must organize before or after the concert to negotiate with the police.

Fred : must live . I think there are prescription by now.

Marc : you dream but it can be true. I believe in nothing but my guitar. Wait and see .

Fred : looks view all around. She says we ‘ll go around the world. This is the panorama.

Marc : it reminds me of Rio or the United States. Both are better than others remained low .

Scene 3 .

They grab .

Marc : If you have the money. An account is opened and creates traded company .

Fred : Not at all. We share equally work as a humanitarian . It was well deserved.

Marc : Are you kidding , I do not like this idea.

Fred : you never have understood the Rock nothing is done to enjoy life .

Marc : loose me.

Fred : Do not talk to me about that tone.

Scene 4 .

They reconciled.

Mark : OK , let’s calm down . We talk to Peter.

Fred : especially to ourselves again. Must agree later.

Marc : For the moment , we have enough stories in progress. We should think about writing new songs.

Fred : this is the real gold bullion without having to hide .

Marc : descend to the village , it is expected by our destiny.

Histoire de Guillaume Tell (6). Images d’Epinal.

Sequence VII .

Scene 1 .

A meeting around the fountain .

Marc : look at this girl, she seems nice .

Fred : not bad, but it is pressed. Let us just talk .

Marc : hello, what time is it ?

Villagers first 4 hours.

Mark, thank you .

Fred : you are well in the village ? What is prepared as block party ?

Second villagers nothing except Thanksgiving that we celebrate in honor of the United States .

Scene 2 .

Pierre joins them.

Marc : hey Peter, you join us without a problem.

Peter, you surprise me , this is serious .

Fred Pierre we nicknamed cigarette is our manager. He speaks better than us.

Stone: BRAMSTOCKER group that we host went to school in the 70s . We never gave up to become stars but we took the time to accommodate us this idea. Glory, is prison a little, if we refuse freedom , that is to say, create , express themselves in public.

3 villagers you are a Punk community close to nature .

Peter : That’s right.

Scene 3 .

Some sense .

Girl : I am the daughter of the Mayor and I offer this day of peace .

Marc : thank you , Mademoiselle, you have the gift to charm me .

Girl : You are the musicians ?

Fred : Yes , Mark can teach you to play the Stratoscaster but I know you do not have time.

Mark : No, you can do it.

Girl : I leave you my phone number. You never know .

Fred : I see to put you on our list of followers.

Scene 4 .

Back at the motel .

Fred : should call our other team in the Gard. They need to worry, they are not new .

Marc : I ‘m taking a shower . You, you know with others.

Fred : With this group of villagers , I realized how. Everything is linked to the image that gives the city. I’ll talk to Peter.

Marc : Do not forget to mention the girl.

Fred : (laughs)

Histoire de Guillaume Tell (7). Images d’Epinal.

Sequence VIII .

Scene 1 .

All gathered around a camp in the forest .

Fred : we made ​​you come to tell you a story.

Marc : If we sign together we can make a concert.

Peter, you want Marseille , we are taken into Nice.

Fred : This forest must have spells. This ‘re in the band’s history .

George : we will have to decipher.

Scene 2 .

They cater to their guest .

Paul, you are called Yannick , it is called BRAMSTOCKER . You can advise us.

Yannick : Marseille course , we always have groups that sound good in May we never will in the Gard.

Marc : at the time, they slept all day , we had no ambition , it was poor. We were interested in self-management, it is the foundation of punk with anarchy.

Fred : I must say that there was no trust, just grumpy and threats around us. I mean in the trade, in Paris and elsewhere. So we built up the songs and then time to live comfortably .

Marc : to survive without drugs if possible and without excessive ambition .

Scene 3 .

The boys are on the same wavelength.

Yannick : you inspire me to a concert, we can do together and I invite all Marseille . Rock, especially when it is shared it is Punk. I loved Johnny Rotten and Billy Idol. You need a joie de vivre that is related to the black community.

Peter : Yes , the group lives in fear too . We do not have the necessary perspective to seduce. If the concert works , it propels us to the top and finished the trouble.

Yannick : all groups must participate to honor BRAMSTOCKER . You are the last witnesses of the 70s.

Scene 4 .

A return to the past before the fire.

Fred : our bass player died at 79, after it was over.

Marc : Not really , there were the drummer and it was he who felt guilty .

Fred : The singer lives in the area , we met the other day but it has more motivation.

Marc : I joined Fred 80 and it never stopped. The BRAMSTOCKER wave surfers still waiting for his film : a sham to be on stage for fun .

Yannick : you are enthusiastic , it’s hip hop stuff.

Histoire de Guillaume Tell (8). Images d’Epinal.

IX sequence .

Scene 1 .

At the edge of the wolf, with revolvers .

Fred : hey, take this gun and I keep it there to be able to compete .

Marc : This is not a duel , this is a competition . I would rather drive to the shooting but hopefully we will not have to confirm it on actual target .

Fred : it does not risk pulling as a precaution.

Marc : in this direction , there is less wrong with being distracted by the river.

Scene 2 .

Firing exercise .

Fred : The future depends on this Gang retains the look I ‘m going to twirl .

Marc : I also want our Gang is recognized in 1901 as a simple association.

Fred : shot on goal .

Mark, when I have the budget , there will be no need to Pierre .

Fred : gold, it is in our songs , Peter knows how to make us sign .

Mark, it’s still weird here . It’s like a fairy tale .

Scene 3 .

About a movie.

Marc : Do you remember the movie FRENCH COP that you offered on TV.

Fred : It was the United States when we left for the weekend . The girls were horrified .

Marc : too much violence , a mixed couple.

Fred : French man, American woman.

Marc : should come out with the appropriate music .

Fred : I play the role that you and the girl.

Marc : No , your humor me drunk . Here is a parallel Earth , give him the name French Cop .

Scene 4 .

End shooting session .

Fred : Yannick such , it really inspired me.

Marc Marseille is better than the States in Nice on our top .

Fred : Nice , we’ll carton and the dead, it stops in Marseille.

Marc : weapons , anyway , they are left in the cloakroom. BRAMSTOCKER nonviolent, just cinema.

Histoire de Guillaume Tell (9). Images d’Epinal.

Sequence X.

Scene 1 .

In a meeting room.

Marc : So, Peter, you’ve found us diners ?

Fred : the Carlton in Cannes, when do we sign?

Peter immediately . I have not wasted my time while playing with a revolver .

George : little champagne , just royalties.

Paul, Peter, on your behalf , I’ll play forever from BRAMSTOCKER .

Pierre : these gentlemen intend to offer the career we were talking about. I told them that was available.

Scene 2 .

Discussion with impresarios .

Fred : I met the daughter of the mayor , it’s the play .

1 impresario : no or little. You are known since you hit the headlines Golf- Drouot 77 and Nice concert of Galopin in the Port area . Now the show biz is ready for your exploits.

Marc : it is not Alice Cooper , it plays just like Elvis Presley.

George : Our dream is to make films .

Second impresario : it will come with time , first concert.

Scene 3 .

With humor , we sign.

Marc : This is a historic day . I gave up a life of boy. I do it for Fred , the only one who knew the other original members, the true founder . I sign!

Fred : congratulations , now you’re more than BRAMSTOCKER a happy BRAMSTOCKER .

Paul : 500 pages , I will call my lawyer to read.

George : If you do that, I divorce.

3rd impresario : you return to initial all pages with my secretary .

Scene 4 .

Everything remains to be done , they signed .

Peter now , everything remains to be done but I see that you signed.

Marc : This is our Bible , Chief, we are the angels of your orchestra.

Fred : No , just those demons .

Pierre yesterday , Fred received an email that has already been made 13 albums.

Fred : This is another dimension called timeframes .

Marc : it’s bugs to harm us . I know a single dimension , mine.

Fred : 4 , we will share it.

Histoire de Guillaume Tell (10). Images d’Epinal.

Looking For Investors.

POST-SCRIPTUM, the French company of Frederic Vidal is looking for financing of its short film and the feature FRENCH COP.
The other LEGAL Gang: Guillaume Tell. Thanks to Epinal Imagery.
http://www.imagerie-epinal.com/index/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Tell

Histoire de Guillaume Tell (11). Images d’Epinal.

Shooting Next Spring.

Call us in France for Partnership:
33 6 32 52 86 19.
fredericvidal2013@yahoo.fr
http://www.tumblr.com/blog/fredericvidal
https://www.facebook.com/fredericvidal2012

Histoire de Guillaume Tell (12). Images d’Epinal.

FRENCH COP Upcoming.

Lega Gang is delayed but FRENCH COP is scheduled in 2014 and GERMAN SPY, a second Feature Film is in file for 2015.

For now, this is the mourning of Georges Lautner who caused the cancellation of the December session of filming in Villeneuve-Loubet. He was from Grasse.

http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/11/26/03002-20131126ARTFIG00549-jean-paul-belmondo-sera-present-aux-obseques-de-georges-lautner.php

Histoire de Guillaume Tell. Images d’Epinal.

LE SCRIPT ORIGINAL EN FRANCAIS.
Publié le 7 novembre 2013 surn Tumblr.

http://www.tumblr.com/blog/fredericvidal

Le scénario par Frédéric Vidal.

Séquence 1 : Présentation.

Scène 1 : thèse.

Marc et Fred se présentent aux spectateurs pour expliquer leur groupe BRAMSTOCKER et sa résurrection. (Ils sont élégants en costumes avec cravate et ressemblent à deux directeurs de société qui sont alliées).

Fred : Bonjour et bienvenue au royaume du cinéma. Ici tout est possible et rien n’apparaît invraisemblable. Sur grand écran ou à la télévision, voire sur votre ordinateur, vous pouvez admirer une réalité imaginaire que les artisans du film ont fabriqué pour vous.

Marc : nous vous accueillons pour vous présenter un court-métrage que nous venons de réaliser au sujet de notre groupe BRAMSTOKER. Punks nous avons commencé en 1977 et Punks, nous sommes restés jusqu’à aujourd’hui bien que nos vêtements comportent moins d’épingles à nourrice.

Fred : mais BRAMTOKER, vous n’en avez jamais entendu parler ou presque. Les maisons de disques parisiennes nous ont expliqué à l’époque qu’elles n’étaient pas intéressées. Maintenant, 35 ans après 78, la seconde année-clé de notre carrière, nous avons pensé nous mettre en scène dans un film de fiction comme les Beatles l’ont fait pour Hard Day’s Night et Help afin de raconter une histoire et de se rendre utile.

Scène 2 : antithèse.

La reformation du groupe en 2013 correspond au tournage d’un film semi-fictionnel retraçant sa légende urbaine de Gang. (Les deux hommes se regardent et n’arrêtent pas de parler tout en apparaissant commandités par une puissance supérieure internationale.)

Marc : nous sommes devenus une légende, paraît-il, de Nice à Marseille, de Paris aux Etats-Unis, sans oublier l’Angleterre.

Fred : notre nom déjà attire l’attention car il rappelle celui de l’auteur d’un livre classique pour les amateurs d’histoires extraordinaires. Nous nous appelons BRAMSTOCKER en hommage à l’écrivain Abraham Stoker, dit Bram Stoker, le père de Dracula, un personnage connu pour être le vampire le plus célèbre de l’histoire du cinéma.

Marc : nous-mêmes, nous ne sommes pas dans l’épouvante mais dans la science fiction. Fred a écrit plusieurs histoires pou le cinéma comme l French Cop et le German Spy.

Fred : la reformation de notre groupe en 2013 a correspondu à notre volonté de rester présent dans l’histoire du rock qui ne nous mentionne jamais. Su une terre parallèle, nous avons même enregistré plus de 13 albums qui furent des succès et marquèrent leur temps.

Scène 3 : synthèse.

Mais ce Gang est légal et il travaille avec la Police pour arrêter les corrompus et les drogués. Il est l’émanation du Punk. (tels des candidats à une élection politique nationale, Marc et Fred sont souriants pour finir et s’expriment avec le sourire avant de laisser la place au film lui-même.)

Marc : nous avons pensé apparaître dans ce film sous la forme d’un équipe de motards que l’on pourrait appeler un gang mai un gang qui soit légal car nous aimons et nous voulons toujours renforcer le respect de la loi.

Fred : dans le film, nous ne sommes pas de la police mais nous collaborons avec elle. Inspirés par les Hell’s Angels, nous ne sommes pas tombés dans la délinquance mais nous la côtoyons pour la réduire à zéro si c’est possible, en donnant l bon exemple : pas de drogue et pas de corruption.

Marc : néanmoins dans le film, BRAMSTOCKER est confronté à des problèmes et des crises qui correspondent à la réalité d’un groupe qui a choisi du rock en France, ce qui ne va pas de soi car ce n’est pas dans les traditions de notre pays qui préfère l’accordéon à la guitare électrique.

Scène 4 : sur-thèse.

Le film qui va suivre est produit par notre  société Post-Scriptum pour la télévision française ainsi que les Etats-Unis. (ils se serrent la main et se séparent en se dirigeant chacun vers un côté opposé du plateau en saluant le public.)

Fred : c’est vrai mais c’est pessimiste. Depuis les années 60, le rock ‘est implanté en France et a obtenu un impact auprès de la jeunesse.

Marc : notre entreprise de cinéma et de musique porte un nom : Post-Scriptum, c’est elle qui produit ce film que nous venons de vous présenter.

Fred : alors, nous allons vous laisser avec l’émanation du groupe, nous-mêmes, et d’autres personnages que vous reverrez peut-être ou qui resteront à jamais dans vos rêves et vos souvenirs.

Marc : merci à tous ceux qui ont contribué à la réalisation de ce projet qui nous permis de faire passer le message : le Punk n’est pas mort, BRAMSTOKER est toujours bien vivant.

Fred : prochain rendez-vous dans les bacs de votre disquaire ou sur l’Internet, pour un premier album commercial de nos chansons qui ne soit pas de science fiction. C’est pour bientôt, si vous aimez le film qui a suivre.

Fred et Marc : Rolling.

Séquence II. L’atterrissage.

Scène I. L’arrivée au Motel.

Après une journée entière à moto, Marc et Fred arrivent avec leurs complices pour s’installer à Villeneuve-Loubet pendant 10 jours. (Le duumvirat hérité d’Octave et de Marc-Antoine est un couple d’experts en projets culturels concentré et exalté par leur plan d’installation dans les Alpes-Maritimes.)

Fred : nous y sommes. La route a été longue. Est-ce que tu es fatigué ?

Marc : Modérément. Allons réserver les chambres d’hôtel.

Fred : bien sûr, je vais demander à Pierre.

Scène 2. La rencontre avec Banjo Man.

Un homme seul jouant du Banjo leur indique qu’à Nice leur groupe est très critiqué pour sa politisation. (ils lui ont adressé la parole pour lui demander la direction de la Mairie car ils sont pressés de lier amitié.)

Banjo Man : vous êtes le groupe BRAMSTOCKER ?

Marc : pourquoi pas si vous le dites.

Banjo Man : je vous attendais pour nous prévenir qu’à Nice, vous n’avez pas que des ami.
Fred : ici, on est à Villeneuve-Loubet.

Banjo Man : vous mélangez la musique et la politique.

Fred : non. La politique, c’est personnel, le Rock que l’on joue, c’est du Punk, c’est pour ça que vous avez cette impression.

Scène 3. Le dialogue.

Marc lui répond qu’il est socialiste et Fred qu’il s’intéresse à De Gaulle sans plus mais leur vrai message est social. (Punks après 77, ils sont vêtus en Hells Angels autant qu’en Sex Pistols à moto et doivent tout au slogan No Future.)

Marc : moi, par exemple, je suis socialiste et fier de l’être mais quand je joue, c’est pour tout le monde.

Fred : je préfère De Gaulle et l’UMP quand je pense à aller voter des fois. Mai s j’ai été déçu par Sarkosy et Hollande me plaît bien, Banjo Man.

Marc : notre vocation est sociale pas politique. Nous sommes là pour la jeunesse, la distraire et la réconcilier avec elle-même en lui donnant à la raison d’être.

Scène 4. La mise au point.

Pour se faire comprendre, ils indiquent qu’ils vont organiser un concert au profit de leur Communauté Culturelle. (ils ressemblent à Sid Vicious dans leur façon d’être mais ne précisent pas de quel genre de concert il s’agit.)

Banjo Man : on ne vous avait jamais revu depuis 78.

Pierre : c’est vrai, on était parti dans le Gard pour s’organiser en gang et attendre le temps nécessaire.

Marc : maintenant qu’on est revenu, c’est pou faire un concert.

Fred : et ce concert, justement, Banjo Man, aura lieu à Nice, tous les autres groupes de la Ville y sont invités ainsi que ceux des alentours.

Séquence III. L’histoire.

Scène 1. L’entrée.

Vêtus de blousons de cuir noir et fumant une cigarette, Fred et Marc arrivent dans leur salle de presse. (ils n’ont pas été dans ce local depuis 30 ans et la poussière est partout ainsi que des toiles d’araignées.)

Fred : rien n’a changé mon vieux, à part les toiles d’araignées et la poussière.

Marc : je ne me souvenais pas que nous avions laissé comme ça.

Fred : on est parti rapidement. On a pas eu le temps de pendre une photo.

Marc : à l’époque, on aurait pu réussir.

Scène 2. L’inspection.

Au mur sont affichés des posters des principales Stars qu’ils écoutaient dans les années 70. Ils plaisantent à ce sujet. (il y a Bowie, T Rex, Gary Glitter en compagnie de l’affiche officielle de BRAMSTOCKER indiquant leur passage au Galopin à Nice.)

Fred : nos idoles sont toujours là.

Marc : avec quelques milliards en plus, certainement.

Fred : tu rigoles, c’est des victimes du système, ils ont gâché leur vie pour le Rock.

Marc : oui, c’est mon impression aussi, il vaut mieux rester discret que célèbre, ça n’apporte rien.

Fred : ça apporte si ça rapporte et si on sait placer l’argent.

Scène 3. La sélection.

Ils recherchent dans la pièce vétuste restée sans occupants pendant des décennies un télégramme publié par Rock’ n Folk. (ils sont pressés et agités car il s’agit d’un texte codé qui révèle que la censure du groupe est une affaire d’Etat car les paroles de chansons s’en prenaient au Pouvoir Politique.)

Marc : il faut mettre la main sur ce télégramme. On est pas là pour rigoler.

Fred : Je cherche. Rock & Folk nous avait donné notre chance en publiant une info sur BRAMSTOCKER prêt à conquérir le monde.

Marc : je l’ai. Deux lignes qui comptent ans notre carrière.

Fred : sûr. Maintenant, il faut le décoder. Ils voulaient dire autre chose puisque ça n’a pas marché.

Scène 4. La célébration.

Une fois l’article et d’autres retrouvés, Fred, Marc et leurs 3 collègues expriment leur satisfaction en buvant. (Fred leur fait remarquer que le vin blanc monte à la tête quand on en boit trop. Il faut trouver un avocat pour faire valoir qu’ils méritent une réhabilitation.)

Fred : on l’a, cigarette. J’aime ton surnom, Pierre, il explique comment tu te consume en manageant le groupe.

Pierre : bois un coup à ma santé, je vais faire de toi une star.

Marc : moi aussi, tu vas me médiatiser, cig. A la tienne.

Paul et George : nous avons retrouvé le fil de notre carrière maintenant.

Séquence IV. L’anniversaire.

Scène 1. L’attente.

Dans une grande salle du restaurant, on attend Pierre pour fêter ses 30 ans. Tout BRAMSTOCKER est réuni. (le patron propose un menu spécial avec 4 plats en expliquant qu’il est fier de recevoir une telle famille de rockers.)

George : j’aime bien cette salle de restaurant. En 77, les premiers musiciens du groupe y déjeunaient des fois avant d’aller à la plage.

Paul : oui, ça rappelle le passé. Rien à voir avec le Gard ou Nice, c’est vraiment Villeneuve-Loubet.

Scène 2. La dérision.

Pierre surnommé Cigarette a prévu un grand discours pour rappeler que le groupe a toujours réussi sans les grands labels. (il a son texte à la main et s’apprête à le lire avec solennité dans son style habituel mondain et décalé mais sa main tremble car il a peur de décevoir.)

Fred : la parole est à notre leader.

Marc : dont nous fêtons l’anniversaire.

Pierre : on a pas réussi à faire mieux avec BRAMSTOCKER jusqu’ici parce qu’on manquait de moyens. On a préféré la vie tranquille à la campagne au stress des studios d’enregistrement en ville, pour voir venir, laisser passer le temps, écrire une page supplémentaire de notre histoire. Maintenant il est temps de décoller. On a réussi à former une équipe trentenaire. Je suis votre Malcolm McLaren et je le prouverai.

Scène 3. La cohésion.

Marc lui répond qu’ils n’ont pas l’intention de laisser tomber leur projet de signer avec une multinationale multimédias. (il le dit avec conviction représentant la tendance show biz au sein de l’équipe pour s’imposer sur toutes les radios qui passent de la musique.)

Marc : je te réponds au nom du groupe, Cigarette. On a pressé quelques albums collectors mais on a jamais percé faute d’environnement commercial. Aujourd’hui, on est avec toi pour se confirmer qu’on est prêt pour une grande maison de disques. C’est à toi de voir, c’est à nous de la trouver. Tu attires la chance avec ton sourire et ton style BCGB. Prépare le contrat et on le signe.

Scène 4. Le contrôle.

Alors que Paul et George découpent le gâteau en affichant leur mariage gay, Fred contrôle que tout le monde a un cadeau. (c’est le cas. Des CDs, une chemise fantaisie, un livre et autres présents sont offerts par l’assistance qui comprend aussi quelques amis de la région).

Paul : on voulait vous dire qu’on est un vrai groupe gay mais on ne compte pas se marier pour l’instant.

George : à force de jouer ensemble, on a appris à se comprendre et la vie entre hommes nous a permis d’éviter le pire.

Fred : rester le seul ! Est-ce que tout l monde a prévu un cadeau pou Pierre. Montrez-moi ça.

Séquence V. La prière.

Scène 1. La visite.

Superstitieux, les membres du Gang aiment à se réunir auprès des défunts dans un cimetière afin de méditer. (c’est leur repère, culturel plus que social. Ils ne sont pas des voyous mais des historiens qui promènent sur terre avec un air de science fiction. Ils marchent en silence.)

Fred : maintenant, nous sommes venus nous recueillir.

Paul : comme d’habitude.

Fred : pour commémorer toutes ces années passées à ne rien faire.

Marc : à faire ce qu’il allait.

George : pour rester dans l’histoire du groupe et écrire son histoire dans celle du Rock, la planète.

Fred : j’ai l’air toujours jeune, Pierre, toi aussi.

Pierre : c’est vrai.

Scène 2. Le bilan.

En 35 ans, depuis 77, plusieurs musiciens sont décédés, ils en parlent en priant le Seigneur que cela n’arrivera plus. (La mort ne leur fait pas peur, elle les attire comme une fée qui les invite à parcourir les siècles de leur destinée.)

Marc : certains sont morts, d’autres sont vivants. Nous sommes tous une communauté.

Fred : tu l’as dit bouffi. Tu es mon copain imaginaire et pourtant tu existes.

Marc : c’st vrai que je te l’ai prouvé.

Fred : le Rock, ce n’est pas de la rigolade, certains sont morts, d’autres peuvent crever.

Marc : c’est le danger.

Pierre : adieu les gosses, vous avez rendu l’âme. Nous, nous sommes des vampires et nous voulons continuer.

Scène 3. Le secret.

Fred et Marc se rapprochent d’un Ange de Pierre pour confier qu’ils ne vieilliront jamais. Ils ont 55 ans sans une ride. (on dit qu’ils ont pactisé avec des extra-terrestres venus sur Terre pour soutenir le Groupe. Leur vie en a été changée et ils regardent le ciel.)

Fred : regarde cet ange de pierre, il pense à nous et réfléchit comment nous en sortir.

Marc : il pense à toi et réfléchit à ma place. Je me souviens du holdup que nos amis avaient réussi pour détruire leur vie. Je me souviens qu’on est resté jeune.

Fred : chacun son problème.

Pierre : vous êtes sûr que c’est tranquille ici.

Fred : on a un secret, on est pas vraiment là, on a dû mourir une centaine de fois.

Marc : il faut y croire qu’l y a plusieurs planètes parallèles.

Fred : en tout cas, il y a la vie après la mort.

Scène 4. Le choix.

En quittant le cimetière, l’équipe rappelle sa  décision de donner leurs vies à la musique à jamais au nom de Jésus Christ. (ils ne croient pas en la fatalité et refusent de tuer quiconque préférant rappeler aux vivants le souvenir de leurs pères décédés auxquels ils s’identifient.)

Pierre : allez, on y va.

Fred et Marc : a jamais, pour le Rock.
Marc : à Sid Vicious.

George : il avait découvert le Rock’n Roll et on l lui a repris.

Fred : j’adore ce cimetière, il ressemble à tous les autres et on peut y discuter.

Séquence VI. Le passé.

Scène 1. La vérité.

Sur le site du château de Villeneuve-Loubet, Marc et Fred doivent faire le point sur leur hold-up resté caché.

(ils ne s’aiment pas et détestent se le dire. Leur but est de contraindre les autres à respecter leur organisation BRAMSTOCKER malgré ses échecs. Ils contemplent le monument historique.)

Fred : maintenant, tu dois me dire ce que tu as faire de l’argent.

Marc : tu sais bien qu’ils l’ont enterré.

Fred : où ça ? On a aucun plan ni aucun renseignement de leur part.

Marc : je les ai entendu dire à l’époque que les lingots n’auraient pas l’occasion de sortir de la ville, trop voyants.

Fred : alors, on les trouvera un autre fois, pour l’instant la musique.

Scène 2. L’argent.

Ils sont revenus dans la région pour retrouver leur butin en lingots d’or et se le partager sans certitude sur la cache. (à l’époque du braquage auquel seul Marc a participé avec les membres d’origine du groupe et d’autres, Fred avait empêchait que le magot soit dilapidé. Il lui rappelle.)

Marc : on doit s’organiser après le concert ou avant pour négocier avec la police.

Fred : faut bien vivre. Je pense qu’il y a prescription depuis le temps.

Marc : tu rêves mais ça peut être vrai. Je crois en rien d’autre que ma guitare. Wait and see.

Fred : regarde la vue tout autour. Elle indique nous allons faire le tour du monde. C’est le panorama.

Marc : ça me fait penser à Rio ou aux Etats-Unis. Tant mieux que les autres soient restés e bas.

Scène 3. L’incident.

Une dispute éclate au sujet de l’affectation des fonds au groupe ou à chacun en particulier. Les deux hommes se battent. (Fred a un couteau et en menace son compère qui n’a pas peur de lui tenir tête en le visant de ses poings. Il y a des témoins et le couteau tombe.)

Marc : si on a l’argent. On ouvre un compte en bourse et on crée une entreprise.

Fred : pas du tout. On partage en parts égales comme un œuvre humanitaire. On l’a bien mérité.

Marc : tu plaisantes, je n’aime pas attendre.

Fred : t’as jamais rien compris au Rock,  c’est fait pour profiter de la vie.

Marc : lâche moi.

Fred : ne me parle jamais plus sur ce ton.

Scène 4. L’accord.

Ils finissent par se calmer et décident d’attendre avant de récupérer le magot afin de négocier avec les Pouvoirs Publics. (Fred pense qu’il y a prescription et comme ils travaillent pour la Police dans le Gard pendant 30 ans en luttant contre la délinquance, ils peuvent s’entendre pour disposer des fonds.)

Marc : OK, on se calme. Nous en parlerons à Pierre.

Fred : surtout à nous-mêmes à nouveau. Il faut e mettre d’accord ultérieurement.

Marc : pou l’instant, on a suffisamment d’histoires en cours. On doit penser à écrire de nouvelles chansons.

Fred : c’est ça les vrais lingots d’or sans qu’on ait à les cacher.

Marc : redescendons vers le village, on est attendu par notre destinée.

Séquence VII. La fille.

Scène 1. Evocation.

En redescendant, ils s’arrêtent devant une fontaine et sympathisent avec un groupe de villageois en évoquant l’histoire du village. (les habitants de Villeneuve-Loubet sont des gens sympas avec un aspect provençal qui leur va à ravir et ils sont très à venant.)

Marc : regarde cette fille, elle apparaît jolie.

Fred : pas mal, mais on est pressé. Arrêtons-nous juste pour parler.

Marc : bonjour, quelle heure est-il ?

1er villageois : 4 heures.

Marc : merci.

Fred : vous allez bien dans le village ? Qu’est-ce qui se prépare comme fête de quartier ?

2e villageois : rien à part la Thanksgiving que nous fêterons en hommage aux Etats-Unis.

Scène 2. Réunion.

Pierre leur parle du Groupe BRAMSTOCKER et de son choix de former une communauté proche de la nature et destinée au Punk Rock. (il attendait Marc et Fred au bas des marches du château et n’est pas au courant de leur altercation. Il remarque une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années un peu agitée.)

Marc : eh Pierre, tu nous a rejoins sans problème.

Pierre : tu m’étonnes, c’est grave.

Fred : Pierre que l’on surnomme Cigarette est notre manager. Il parle mieux que nous.

Pierre : le groupe BRAMSTOCKER que nous animons a fait ses classes dans les années 70. Nous n’avons jamais renoncé à devenir des stars mais nous avons pris le temps pour nous accommoder à cette idée. La gloire, c’st la prison un peu, si on refuse la liberté, c’est-à-dire créer, s’exprimer en public.

3e villageois : vous êtes une communauté Punk proche de la nature.

Pierre : c’est ça.

Scène 3. Association.

La fille du Maire est intéressée d’abord par Marc qui lui propose de lui apprendre la guitare avec sa Stratocaster. Fred la regarde et elle sourit. (il lui laisse son numéro de portable et a confiance en elle qu’elle reparlera car elle lui fait un clin d’œil).

Fille : je suis la fille du Maire et je vous offre cette journée de tranquillité.

Marc : merci, Mademoiselle, vous avez le don de me charmer.

Fille : vous êtes des musiciens ?

Fred : oui, Marc peut vous apprendre à jouer de sa Stratoscaster mais je sais  que vous n’avez pas le temps.

Marc : non, tu peux le faire.

Fille : je vous laisse mon numéro de téléphone. On ne sait jamais.

Fred : je verrai pour vous mettre sur la liste de nos fidèles.

Scène 4. Séparation.

Ils retournent à l’hôtel avec une idée plus claire sur leur plan de renforcer l’image du groupe grâce à la communication. (il faut organiser des rencontres avec les jeunes et les moins jeunes pour dialoguer dit Marc à Pierre, autour d’un journal qui s’appellera EVIDENCE conclut Fred.)

Fred : faut téléphoner à nos autres équipiers dans le Gard. Ils doivent s’inquiéter, ils sont sans nouvelle.

Marc : je vais prendre une douche. Toi, tu vois avec les autres.

Fred : avec ce groupe de villageois, j’ai compris comment faire. Tout est lié à l’image qu’on donne en ville. J’en parlerai à Pierre.

Marc ; n’oublie pas de rappeler la fille.

Fred : (rires)

Séquence VIII. La méditation.

Scène 1. Le feu.

Dans la forêt, sur la colline, le groupe s’est réuni autour d’un feu de bois pour apprécier d’être réuni. (les flammes représentent l’enfer que BRAMSTOCKER a évité en s’organisant en loi de 1901 pour renoncer aux disques commerciaux en 1980. Ils se tiennent par la main.)

Fred : on t’a fait venir pour te raconter une histoire.

Marc : si on signe ensemble, on peut faire un concert.

Pierre : tu tiens Marseille, nous on tient Nice.

Fred : cette forêt doit avoir des sortilèges. C’es dans l’histoire du groupe.

George : il va falloir les déchiffrer.

Scène 2. L’attente.

Les membres de BRAMSTOCKER ont invité Yannick, un noir de Marseille pour faire le point sur le Rap et l’anti-violence. (ils parlent avec ferveur de leur amitié entre la musique soul et le rock car Chuck Berry a inventé les Rolling Stones et BRAMSTOCKER a créé le phénomène de tribu en France, inspiré du reggae.)

Paul : tu t’appelles Yannick, on s’appelle BRAMSTOCKER. Tu peux nous conseiller.

Yannick : bien sûr à Marseille, on a toujours des groupes qui sonnent bien mai on va jamais dans le Gard.

Marc : à l’époque, on dormait toute la journée, on avait pas d’ambition, on était pauvre. On s’intéressait à l’autogestion, c’est au fondement du Punk avec l’anarchie.

Fred : il faut dire qu’il n’y avait pas de confiance, juste des grincheux et de la menace autour de nous. Je veux dire dans le métier, à Paris et ailleurs. Alors, on a accumulé les chanson et puis du temps pour vivre à l’aise.

Marc : pour survivre sans drogue si possible et sans ambition démesurée.

Scène 3. Le conseil.

Yannick dit à Pierre d’inviter les meilleurs groupes de rock de la région pour un festival à Nice avec BRAMSTOCKER. (la brillante idée est applaudie par Marc et Fred qui rêvent d’un grand rassemblement pour assouvir leur ambition commune mais concurrente. Ils détestent l’anonymat).

Yannick : vous m’inspirez pour un concert, on peut le réaliser ensemble et j’inviterai tout Marseille. Le Rock, ça se partage surtout quand il est Punk. J’aimais beaucoup Johnny Rotten et Billy Idol. Vous avez besoin d’une joie de vivre qui reste liée à la communauté noire.

Pierre : oui, le groupe vit trop dans la peur. Nous n’avons pas le recul nécessaire pour séduire. Si le concert marche, il nous propulse au sommet et fini les embrouilles.

Yannick : tous les groupes doivent participer pour rendre hommage à BRAMSTOCKER. Vous êtes les derniers témoins des années 70.

Scène 4. La reconnaissance.

La confirmation de l’échec du groupe à cause du premier line-up et de la mort du bassiste d’origine fait pleurer. (ils recherchent le chanteur de départ, témoin de l’assassinat dont ils soupçonnent le batteur. C’était après le casse et Fred s’ne souvient.)

Fred : notre bassiste est mort en 79, après c’était terminé.

Marc : pas vraiment, il restait le batteur et c’est lui qui s’est rendu coupable.

Fred : le chanteur vit dans la région, on l’a rencontré l’autre fois mais il a plus la motivation.

Marc : j’ai rejoins Fred en 80 et ça ne s’est jamais arrêté. La vague BRAMSTOCKER qui attend toujours ses surfeurs pour la filmer : la frime d’être sur scène pour s’éclater.

Yannick : vous êtes des enthousiastes, c’est hip hop tout ça.

Séquence IX.

Scène 1. Installation.

Arrivé au bord du Loup, Marc sort 2 revolvers et en offre un à Fred pour une séance de tir à vue. (c’est le lendemain, ils dirigent le groupe depuis l’arrivée dans le Gard. Marc avait le même âge que Fred. Ils manient les armes comme un art martial avec calme et sérénité.)

Fred : tiens, prend ce revolver et je garde celui-là pour qu’on se mesure en compétition.

Marc : c’est pas un duel, c’est un concours. Je préférais l’entraînement au stand de tir mais espérons que l’on aura à le confirmer sur cible réelle.

Fred : ça ne risque pas, on tire à titre préventif.

Marc : dans cette direction, on a moins de mal à être distrait par la rivière.

Scène 2. Contemplation.

La rivière coule paisiblement alors que l’avenir du Gang dépend du duo de leaders qui visent une boîte de conserve. (ils sont à nouveau unis par les liens de leur crime : exister dans un pays qui dit non au Rock depuis les années 60, sauf exception qu’ils espèrent obtenir du Maire de Nice disent-ils en s’exerçant.)

Fred : l’avenir du Gang dépend de cette conserve, regarde je vais la faire virevolter.

Marc : moi aussi, je veux que notre Gang soit reconnu comme une simple association 1901.

Fred : tir au but.

Marc : quand j’aurai le budget, il n’y aura plus besoin de pierre.

Fred : l’or, c’est dans nos chansons, Pierre sait comment nous faire signer.

Marc : c’est quand même bizarre ici. C’est comme dans un conte de fées.

Scène 3. Concertation.

Ils remarquent que leurs armes rappellent le logo du film French Cop que BRAMSTOCKER affiche en couverture de ses flyers de promotion. (c’est un film de la société TIMEFRAMES que Fred a préparé pour les Etats-Unis afin de se lancer dans le cinéma sans succès. Depuis il se prend pour un acteur quand il tire et Marc Rigole.)

Marc : tu te souviens du film FRENCH COP que tu as proposé à la télé.

Fred : c’était aux Etats-Unis quand on est parti en weekend. Les filles étaient horrifiées.

Marc : trop de violence, un couple mixte.

Fred : homme français, femme américaine.

Marc : faudrait le ressortir avec une musique appropriée.

Fred : je jouerai le rôle et toi celui de la fille.

Marc : non, ton humour me saoule. Ici, c’est une Terre parallèle, donne-lui le nom French Cop.

Scène 4. Démonstration.

Trois balles de revolver chacun après, il est question d’étendre le réseau d’échanges culturels de Gênes à Marseille. (il y avait 2 gangs au départ, les BRAMSTOCKER et les DENTIST et ces derniers ont fusionné après avoir soutenu l’accession du 1er au statut de légende urbaine. Fred  a nommé Marc son héritier, il lui confirme.)

Fred : ce type Yannick, il m’a vraiment inspiré.

Marc : Marseille, c’est mieux que les States à Nice, on va cartonner.

Fred : à Nice, on va cartonner et les morts, ça s’arrête à Marseille.

Marc : les armes, de toute façon, on les laisse au vestiaire. BRAMSTOCKER non violent, juste au cinéma.

Séquence X.

Scène 1. Présentation

Dans les locaux de la société de production de concerts, les 4 musiciens de BRAMSTOCKER plaisantent. (Pas encore de contrat avec Universal, mais beaucoup d’estime et de frime, surtout pour des Punks spécialisés dans le Heavy Metal. Cigarette est très impressionné par l’environnement corporate.)

Marc : alors, Pierre, tu nous as trouvé des convives ?

Fred : c’est le Carlton à Cannes, quand est-ce qu’on signe ?

Pierre : tout de suite. J’ai pas perdu mon temps pendant  que vous jouez au revolver.

George : très peu de champagne, juste des royalties.

Paul : Pierre, sur ton nom, je jouerai à jamais du BRAMSTOCKER.

Pierre : ces messieurs ont l’intention de nous offrir la carrière dont on parlait. Je leur ai expliqué qu’on était disponible.

Scène 2. Discussion.

Après avoir joué au Tremplin du Golf Drouot en 1977, BRAMSTOCKER est resté un groupe historique pour les impresarios. (ils ne sont plus les mêmes. Ils avaient mal tournés après leur échec relatif pour un disque commercial. Mis au vert par leur camp, ils sont des revenants sympas qui assument avec un  look de stars en conférence de presse face aux deux hommes d’affaire.)

Fred :j’avais rencontré la fille du Maire, ça a du jouer.

1er impresario : non ou un tout petit peu. Vous êtes connu depuis  que vous avez défrayé la chronique au Golf-Drouot en 77 et à Nice au concert du Galopin dans le quartier du Port. Maintenant, le show biz est prêt pour vos exploits.

Marc : on est pas des Alice Cooper, on joue juste comme Elvis Presley.

George : notre rêve, c’est de faire du cinéma.

2e impresario : ça viendra avec le temps, d’abord un concert.

Scène 3. Lecture.

Le contrat de 500 pages comporte une clause d’exclusivité. Le Gang doit démontrer qu’il est un super-groupe et le lire. (il faut parapher les pages les plus importantes et les papiers se répartissent de l’un à l’autre sans qu’aucun ne s’énerve. La clause d’exclusivité déplait à Paul.)

Marc : c’est un jour historique. J’ai renoncé à une vie de garçon. Je le fais pour Fred, le seul à avoir connu les autres membres d’origine, le vrai fondateur. Je signe !

Fred : bravo, maintenant tu es plus qu’un BRAMSTOCKER, un BRAMSTOCKER heureux.

Paul : 500 pages, j’appellerai mon avocat pour les lire.

George : si tu fais ça, je divorce.

3e impresario : vous reviendrez pour parapher toutes les pages avec ma secrétaire.

Scène 4. Signature.

Les 4 signatures sont apposées sur la page prévue à cet effet et Pierre, le manager, les exhorte de se sentir heureux. (c’est difficile, il faut encore jouer les nouveaux morceaux en salle de répétition en hommage aux Pussy Riots dit Marc et Fred rappelle qu’il a reçu un email étonnant au sujet de 13 albums qu’ils auraient déjà enregistrés. Mauvais gag ou réalité alternative d’un groupe BRAMSTOCKER qui aurait réussi dès 1977, sur une Terre Parallèle ?)

Pierre : maintenant, tout reste à faire mais je vois que vous avez signé.

Marc : c’est notre Bible, chef, nous sommes les anges de votre orchestre.

Fred : non, juste ces démons.

Pierre : hier, Fred a reçu un email selon lequel on a déjà réalisé 13 albums.

Fred : c’est une autre dimension qui s’appelle TIMEFRAMES.

Marc : c’est des bugs pour nous nuire. Je connais une seul dimension , la mienne.

Fred : à 4, on va se la partager.

Fin.

Frédéric Vidal

7 novembre 2013.

(c) 2013, Post-Scriptum.

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Frédéric Vidal by Anne-Marie Olsson. BRAMSTOCKER: Legal Gang, Villeneuve-Loubet, 10/30/2013. © Post-Scriptum.

Pictures of the environment of the film, by Frederic Vidal,  © Post-Scriptum:

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